Dominique LAMORELLE RAYNAL - Dominique LAMORELLE-RAYNAL -

Dominique LAMORELLE-RAYNAL
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Dominique LAMORELLE-RAYNAL
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Dominique LAMORELLE-RAYNAL
Dominique LAMORELLE-RAYNAL
« Voyager ! perdre le pays !
Devenir autre constamment,
Pour l’âme pas de fondement
Sinon voir, voir sans merci »
Fernando  Pessoa, « Voyager ! perdre le pays ! », poèmes 1942
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Dominique Lamorelle Raynal artiste peintre
Dominique Lamorelle-Raynal vit et travaille en Auvergne.  Après avoir longtemps exploré une peinture gestuelle qui éprouvait le geste dans une approche sérielle, son travail aujourd’hui  prend racine dans la matière, les paysages, les lieux traversés où le minéral et le végétal sont une source indirecte d’inspiration, car toujours rêvés, évoqués, jamais décrits.
« Un monde se forme dans notre rêverie, un monde qui est notre monde. Et ce monde rêvé nous enseigne des possibilités d’agrandissement de notre être dans cet univers qui est le nôtre. Il y a du futurisme dans notre univers rêvé »
Gaston Bachelard, La poétique de la rêverie.
Son processus créatif passe d’abord par un dessin « à l’aveugle » dans la matière, puis un recouvrement de couleurs qui révèlent alors la forme. C’est alors que commence une série autour des variations colorées sans cesse recommencées, dans lesquelles le hasard entre en jeu. Parfois  des procédés de reproduction distillent du mécanique dans le manuel, du systématique dans l’imprévu.


D’inspiration minérale, cette famille de peintures renvoie à différents lieux de la Grèce.  Ainsi, chaque série devient une pierre à image, une pierre de rêve, tels les marbres-paysages du 18ème siècle qui suggéraient montagnes ou étangs, ciel ou roches. Chaque série se rattache à un lieu.


Proche de la gravure, la collagraphie est un procédé d’impression qui inclut des matériaux, sorte de collage en relief destiné à être encré et imprimé.
Là encore, le hasard imposé par les matériaux est de la partie : les accidents imprévus, l’encrage rendu imprécis, les formes modifiées par la presse, …


Le titre de cette série est emprunté à une pièce pour clavecin de György Ligeti, pièce qui se présente sous la forme d'une continuité : aucune barre de mesure ne sépare les différents moments de la pièce,  celle-ci se déroulant en ligne continue.
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Tél. : 06 73 75 32 66
doraynal@gmail.com

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